La Cabane De Tonton Damien Ep. 02 Les Galipettes De Tonton Et Tatie
Après ce que Lorry mavait raconté, jai eu du mal à faire semblant de rien. Elle narrêtait de me dire quelle était très reconnaissante à ce Henry, que probablement sans lui on ne se serait jamais connues
Et quand josais appeler ces types malades ou pervers, elle me disait de ne pas les appeler ainsi. Et, lui faisant noter la façon dont ce vieux la traita, soit de marie-couche-toi-la ou dun conduit à déboucher, elle me dit que ce nétait pas vrai, que Henry avait été gentil. Je me suis rendue compte, a ce moment la, que ma Lorry avait de sérieux problèmes...
Incrédule, je lui ai demandé: « Un type gentil est celui qui assouvit son désir de dépucelage avec une fille qui a quarante ans moins que lui, en la traitant de salope, sur un pick-up?! » Elle ma répondu, un peu irritée : « Je lui suis reconnaissante ! Jai pus mépanouir, et prendre tous les plaisirs de la vie. » Et Antoine nétait pas son seul petit-copain, mais un des nombreux quelle avait. La nympho, je me suis dite ! Et de plus, même assez stupide, si elle ne comprenait pas quelle se fit usée : de quoi faire pâlir les féministes, comme moi ! Déjà je fus choqué par ses sex-toys dans sa chambre qui semblait celle dune ado, et maintenant ça ?
Javais vraiment du grand mal à comprendre. Et surtout je ne savais pas si elle continuait à se faire traiter comme lavait traité Henry. Je ne pouvais pas comprendre, moi qui étais pour les droits de la femme, contre limage dune femme objet qui na que trois trou, deux nichons et deux fesses. Daccord, si elle aimait les vieux, ce nest pas un problème, on baise avec qui on veut. Jétais partante pour le sexe libre, jétais bis entre autre, mais Lorry ne semblait pas comprendre que, ce Henry, lusa comme un trou quelconque ! Elle tint, cependant, à me raconter tout le reste, et surtout le motif pour le quel elle croyait aimer les vieux. Elle mharcela, jusqu'à ce que je ne cède, et je lécoute.
Depuis son dépucelage elle ne se fit plus prendre, de personne.
Puis, lété daprès, a quelques semaines de ses dix-huit ans, ses parents lenvoyèrent chez Tatie Lucie. Ce fut elle qui vint la prendre à larrêt du bus, et elle resta frapper par le changement de sa nièce qui arborait une robe moulante, décolletée, et courte a la limite des fesses. Cette Tatie Lucie, avait quarante-six ans à lépoque, encore jeune et plaisante, aux cheveux courts. Et elle était célibataire depuis une dizaine dannées. Le pourquoi ? Daprès les voix du village, elle était lesbienne et avait eu pas mal de petites rencontres entre « gouines ». Mais elle nétait plus célibataire, apparemment. Quand Lorry arriva à la maison, Tatie Lucie lui avoua une surprise : un fiancé tout frais, de cinq ans son ainé, pêcheur, maitre dun gros danois du nom de Gaston. Et quand Tatie Lucie ouvrit la porte, Lorry connu celui qui serait devenu Tonton Damien. Son Tonton Damien !
Voila un autre pervers, jai sifflé ; et elle me fit : « Un jour, tu verras, tu ne les appelleras plus ainsi ! Et puis, ce ne sont pas des pervers
Si tu déhanche devant un type en mini-jupe, et il te siffle derrière, ce nest pas forcement un pervers !» Assises toutes deux dans un café, sa main se balada sur son entrejambe, en public ! Je lui ai demandé darrêter, mais elle ria en me disant dêtre plus cool. Elle me dit que rien navait été fait contre sa volonté, jamais
Au contraire, cétait toujours elle qui cherchait, et puis, elle aurait été majeure dans moins de deux semaines.
Ce Damien, avait cinquante-et-un ans, bel homme, très haut, aux cheveux sel et poivre, un corps assez athlétique, un beau sourire et il navait pas que ça ! Lorry me dit quelle avait mouillé quand il la regarda, la dévorant des yeux.
Durant tout le soir, Lorry dut voir Tatie Lucie se faire cajoler par son petit-copain, désirant être à sa place. Daprès ce quelle se rappelait, et elle se rappelait bien, il narrêtait pas dégarer sa main sur les cuisses de sa Tatie qui portait un short. Et elle imaginait, daprès le visage de sa tante, quil ne se retenait pas de lui mettre la main au con aussi, même si elle se trouvait devant eux.
Quand Tatie Lucie emmena les plats, Lorry demanda à Damien de lui verser un peu deau. Et à ce qui parait, en lui clignant de lil, il lui dit de lappeler Tonton, et de ne pas avoir honte de lui. Quand il dit ceci, elle rougit et elle ne put retenir sa main qui sinsinua vers sa petite culotte humide, car il avait égaré explicitement ses yeux, sur les seins de Lorry.
Se sentant vraiment mal a laise, ayant lentrejambe inondé, elle augura vite bonne nuit à ses tontons, pour courir dan sa chambre. Retroussant la robe, elle se regarda surprise. Elle avait lintérieur des cuisses couvert de cyprine, tandis que ses slips en étaient carrément trempés. Elle navait jamais eu tellement envie comme en ce moment, me dit-elle, et elle osa se toucher plus profondément!
Bien assise sur le fauteuil style baroque de ce café un peu retro, sa main se fourra entre ses cuisses. Jai dû lui dire : « Tu vas te faire pincer, comme ça ! » Elle secoua la tête et jai sentis assez clairement le bruit de lélastique de ses culottes claquer contre sa peau, les écartant surement. « Arrête ! » Jai dit, quand jai comprit quelle avait mit ses doigts dedans. En riant, elle me dit dessayer à mon tour. Jai refusée
La main sur mes yeux, ayant honte pour elle, jentendais le clapotis de ses doigts qui entraient et sortaient de son abricot.
Se mettant à poil, assise sur le lit, elle écarta les jambes en mettant entre elles un miroir, pour voir, me dit-elle. Elle regarda longtemps sa minette dans ce miroir, y jouant, ouvrant ses lèvres vaginales pour voir ses intérieurs roses, chatouillant le clitoris, frôlant son petit trou. Et cest vers ce trou quelle pointa lindex. Elle me jura encore une fois que jamais, depuis Henry, elle navait essayé à se mettre un doigt dedans, ni même par curiosité.
A ce quelle dit, elle trouva des difficultés pour se faire brèche dans son vagin, mais elle sentit un plaisir intense lébranler quand elle réussit à mettre tout le doigt dedans. Lentement elle commença à se pénétrer de ce doigt, incapable den ajouter un deuxième. Elle se regarda dans le miroir, surprise de voir ses chaires qui suçaient son index. Puis, après quelques aller-retour « jai commencé à trembler comme une feuille et jai dut me mordre la langue pour ne pas crier par le plaisir ! ».
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Honteuse, je regardais autour de nous, pour massurer que personne ne sétait rendu compte delle, des mouvements de son bras, et de sa main entre ses jambes. Trop tard, un type tout seul à une table, devant un pc, la matait. Il la regardait, un sourire taquin aux lèvres. Je lai dit à Lorry. Elle a haussé les épaules, continuant son vas-et-viens discret, insouciante, sans honte aucune.
Tonton Damien, daprès Lorry, était un homme très amusant et elle en était vraiment très, mais très, attirée. Et elle était persuadée quil en était de même pour elle, car souvent il le trouvait entrain de lui contempler les fesses ou alors les seins, sans rien faire ou dire. Pas comme les vieux qui lui sifflait derrière et bandait en collant leurs pubis a son cul.
Si elle était complètement folle de ces frotteurs la, moi, ça me révolter lestomac. Je ne supportais pas, je ny arrivais pas! Les frotteurs cétait ma panique.
Au bout dune semaine, me dit-elle, tard la nuit, elle entendit des bruits. Son lit était collé au mur mitoyen entre sa chambre et celle de sa tante. Ces bruits étaient des clapotis, des coups réguliers et assez forts, des bruits accompagnés par des gémissements. Surprise, elle approcha loreille du mur et elle put entendre assez nettement ce qui sy passait. Des « oh », des « ah », des « oui », avec des « plus vite », des « cest bon ».
Elle eu une terrible envie de voir ce quils faisaient. Sortant en pointe de pied de sa chambre, elle sapprocha de la porte de sa tante, cherchant à regarder par la serrure. Mais cétait trop sombre. Il ny avait quun seul endroit doù elle pouvait bien voir, selon elle. Elle sortit dans le jardin, fit le tour de la maison pour rejoindre la fenêtre grande ouverte, de la chambre de sa Tante, avec les rideaux écartés. Et dun coin, elle regarda.
Sa tante, mise en levrette, se faisait bien limer par son nouveau compagnon en « baisant férocement comme des animaux ! ». En regardant la scène, elle se porta une main sur la bouche car elle tomba des nuages, tellement elle fut surprise par lénorme jouet que Tonton cachait dans ses pantalons. Il avait une bite de cheval, selon ses mots à elle. Et ce pénis obscène, disparaissait entre les fesses de sa tante qui haletait à yeux clos. Et rien qua la vue de cette pine, elle me dit quelle eu presque un manquement tandis que « javais labricot en folie ». Ne pouvant pas faire a moins de cette petite scène, elle senti une envie irrésistible la prendre. Elle fit descendre le short du pyjama et, les fesses a lair dans le jardin, elle écarta les cuisses le juste quil fallait pour se toucher en regardant discrètement sa tante se faire niquer ainsi.
Damien donna des coups de reins encore plus forts, tenant Lucie des flancs, ses grosses couilles rondes qui battaient contre le pubis de Tatie Lucie. Et en les regardant, Lorry se touchait, sentant grandir en elle un forte envie de bite comme elle nen avait jamais eu. Regardant le visage de sa tante, elle était persuadée quelle ressentait un plaisir énorme, et elle voulait le ressentir à son tour. Elle voulait une bite, et rien dautre que la bite de Tonton Damien ! Elle joui en les regardant, me dit-elle. Elle joui, sans réussir à se retenir, au même temps que sa Tante.
Voir baiser ma Tante avec son copain, jaurais eu honte et je serais partie! Comme à l instant où elle me parlait. Je la connaissais et je savais quand elle allait jouir. Lorry avait les pommettes rouges, elle y était presque, elle allait jouir, ainsi, en plein public et sous les yeux de ce mec. Au moins, il ne devait pas avoir plus de trente ans. Lorry prit ma main sur la table, la serrant, et elle joui ! Sefforçant pour retenir ses gémissements. Javais si honte
moi, a sa place elle.
Elle avait joui fort, tout comme sa tante, la cyprine qui narrêtait de couler de sa minette, sous des frissons de plaisir. Elle allait partir pour rejoindre sa chambre, par peur quon ne puisse la surprendre, mais puis ses yeux furent attirés par la queue de Tonton Damien, qui se retira de la chatte de sa tante, encore bien bandante et fumante.
Ça te dit de me sucer ? Il demanda en lembrassant sur le dos. Pour que je vienne dans ta bouche !
Sa tante se tourna et se mit à genoux. Elle prit lénorme bite dans sa bouche, léchant chaque repli de la pine de son compagnon. Elle prit a lui sucer le gland, saidant de la main pour le branler, pour le faire jouir. Damien creusa les reins, le visage contre le plafond, pour crisper ensuite les mains sur la tête de Tati Lucie, ainsi quelle ne bouge pas, et il vienne aisément sur sa langue. Quand il retira sa pine, Tante Lucie prit un mouchoir et y cracha la foutre.
Un jour tu me feras le plaisir de lavaler, chérie ? Il demanda en sasseyant sur le lit.
Pour ton anniversaire je vais avaler chaque goutte, elle répondit.
Laissant ses Tonton dans leur chambre, Lorry retourna dans la sienne, en faisant le moins de bruits possible.
Lorraine se tut aussitôt, quand le mec qui lavait bien maté tout le temps quelle se donna du plaisir, nous salua en se présentant. Lorry lui sourit, moi jaurais voulu me cacher sous la table. Il glissa un petit papier sur la table, tout en lui chuchotant quelque chose à loreille. Elle ria, avant que le type ne parte. « Quest-ce quil ta dit ? » Jai demandé. Et elle : « Que si javais besoin, il soffrait pour maider ! » Je devais avoir une figure dhébète, a mis surprise et a mis écurée par le fait quelle était flattée de ceci. En riant, elle me chuchota : « De tant à autre je me tape des jeunes de mon âge aussi ! » Et en comprenant ce que jallais dire, elle ajouta : « Je ne me tape pas nimporte qui ! Et puis, même si tu en a horreur, moi je suis heureuse quon me dise ceci. Ça veut dire que je leur plais. » Je nai rien dit. Jai préféré me taire, au lieu de répondre, et entrer en une conversation stérile.
Ce fut comme ça, me dit-elle, cétait les vieux aux cheveux blancs qui la faisaient mouiller. Et dès le jour après, elle mavoua quelle ne se vexait plus si les vieux la touchaient. Et la preuve, arriva juste le lendemain. Après avoir longuement fait un pompier a un des bacheliers (sans ressentir la moindre envie de se faire prendre), durant un spectacle sur la plage, au milieu de la foule, un type sur la quarantaine lui colla la main au cul. Il lui pelota les fesses, un instant, attendant sa réaction. Comme quoi elle ne dit rien, il lui posa le sexe bien bandant sur les fesses, et elle se rendit compte quelle mouilla aussitôt quelle ressentit cette pine se frotter un peu à elle! Et elle se frotta, bien, entre ses deux fesses, jusqu'à jouir. ...
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